Le DEA 104 de l'Université de Paris-Dauphine est consacré exclusivement à la Finance. Il sanctionne un cursus de six cours obligatoires, un ensemble de huit modules de cours optionnels (à choisir parmi 14) et représente 378 heures d'enseignement par étudiant, sans compter le séminaire obligatoire de présentation par les étudiants d'articles publiés sur des sujets fondamentaux. Il s'achève par la rédaction d'un mémoire qui peut être rédigé à l'occasion d'un stage. FINANCE -INANCE Le DEA 104 a pour objet d'apporter une connaissance approfondie - à la fois théorique et opérationnelle en Finance. Tous les aspects de la discipline y sont abordés : les décisions financières et la théorie de la firme, la nouvelle physionomie des marchés financiers et les instruments nouveaux, le principe fondamental de valorisation par arbitrage, l'optimisation de choix de portefeuilles, etc. La Finance traite, d'un point de vue général, l'évaluation des actifs financiers. Pour atteindre cet objectif, elle emprunte à des disciplines voisines telles que la microéconomie, les mathématiques, l'économétrie et la théorie des organisations. Au cours des trente dernières années, la Finance, acquérant un statut scientifique, s'est érigée en discipline autonome. Les progrès de l'économie financière, en même temps qu'ils s'accompagnaient d'une formalisation de plus en plus poussée, ont permis de mieux appréhender les phénomènes observés sur les marchés et dans la vie des entreprises. L'objet du DEA est de former des enseignants-chercheurs dont les débouchés se trouvent à l'intérieur des Universités et grandes écoles de commerce et scientifiques, françaises et étrangères, ainsi que de former des cadres de haut niveau pour des sociétés de conseil en finance, des institutions financières ou les services financiers des grandes entreprises industrielles et commerciales. Compte tenu de la quantification récente de la finance de marchés ainsi que de la finance d'entreprise (instruments structurés, nouveaux produits de haut de bilan), une grande majorité des dernières promotions du DEA s'est orientée vers des activités opérationnelles. Jean Mathis Directeur du DEA Finance
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ANE Thierry | Maître de Conférences, Université Paris Dauphine |
BATSCH Laurent | Professeur, Université Paris Dauphine |
BELLALAH Mondher | Professeur, Université du Mans |
BOULIER Jean-François | Professeur associé, Université Paris Dauphine |
COHEN Elie | Professeur, Université Paris Dauphine |
DANA Rose-Anne | Professeur, Université Paris Dauphine |
DAVANNE Olivier | Professeur associé, Université Paris Dauphine |
GEMAN Hélyette | Professeur à l'Université Paris-Dauphine |
GRANGER Thierry | Professeur, Université d'Artois |
HAMON Jacques | Professeur, Université Paris-Dauphine, Directeur du CEREG |
JOUINI Elyès | Professeur, Université Paris Dauphine |
LARNAC Pierre-Marie | Professeur, Université Paris-Dauphine |
MATHIS Jean | Professeur, Université Paris Dauphine |
MIGNON Valérie | Professeur à l'Université de Valenciennes |
NUSSENBAUM Maurice | Professeur, Université Paris Dauphine |
QUITTARD-PINON François | Professeur, Université de Lyon I |
RICHARD Jacques | Professeur, Université de Paris Dauphine |
RIVA Fabrice | Maître de Conférences, Université de Paris Dauphine |
ROGER Patrick | Professeur, Université de Strasbourg |
ROLL Richard | Professeur à l'UCLA |
RONCORONI Andrea | Professeur associé à l'ESSEC |
SULZER Jean-Richard | Professeur, Université Paris-Dauphine |
Six enseignements obligatoires, pour un total de
210 heures.
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2 | Futures et marchés à terme | 1 | 24h | Thierry Ané |
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5 | Choix de portefeuille en temps discret | 1 | 27h | Rose-Anne Dana |
6 | Gestion d'actifs Modèles factoriels |
3 | 42h 15 h |
Jacques Hamon Richard Roll |
Parmi les quatorze enseignements à option suivants, l'étudiant doit, en accord avec le responsable du DEA, sélectionner 8 modules en fonction de sa formation antérieure :
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Jacques Richard | ||
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18 | Gestion quantitative de portefeuille | 1 | 21 h | Jean-François Boulier | ||
19 | Marchés financiers imparfaits (suspendu pour un an) |
1 | 21 h | Elyès Jouini | ||
20 | Econométrie de la finance | 1 | 21 h | Valérie Mignon | ||
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1 | 15h |
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Le nombre total d'heures de cours par étudiant est donc de 210 heures de cours
obligatoires et de 189 heures de modules optionnels, soit 378 heures, en plus des
15 heures du séminaire de lecture obligatoire.
Modalités du contrôle des connaissances
- Obtenir la moyenne de 10 au groupe des matières obligatoires
- Obtenir au moins 10 au mémoire de recherche
- Obtenir au moins 10 de moyenne générale.
Chaque matière est affectée d'un coefficient 1 dans le calcul de la moyenne sauf les enseignements obligatoires de :
- Théorie Mathématique de l'arbitrage (coefficient 2)
- Gestion quantitative de portefeuille (coefficient 3)
et le mémoire qui compte pour un coefficient 3 (2 pour l'écrit et un pour la soutenance).Chaque étudiant doit choisir obligatoirement 8 enseignements optionnels
Les mentions sont assez bien à 13, bien à 15 et très bien à 17 de moyenne générale
Un étudiant ne se présentant pas à un examen, ne pourra pas obtenir son diplôme. La non-soutenance du mémoire interdit aussi l'obtention du diplôme.
Les étudiants n'ayant pas satisfaits aux contraintes énumérées ci-dessus, peuvent à titre exceptionnel être admis au redoublement sur l'un ou les deux groupes de matières. Ils peuvent être également refusés. La décision étant prise par le jury.
Après accord du directeur du DEA, les étudiants qui travaillent sont autorisés à suivre le cursus en deux ans. Ils doivent néanmoins obtenir de leur employeur l'autorisation de suivre une partie des enseignements.
Les enseignements obligatoires
La théorie des organisations est la théorie des jeux appliquée aux problèmes d'allocation des ressources tels qu'ils se présentent, sous forme abstraite, dans le second théorème de l'économie du bien-être. Une organisation est un ensemble de règles et de pouvoirs qui rendent efficace l'action collective dans des environnements économiques donnés. Le cours se concentre sur certaines institutions. La première partie traite des mécanismes de révélation de l'information privée sur les marchés (enchères notamment) et dans les procédures de choix de biens publics. La seconde partie traite de l'entreprise comme contrat incomplet. La propriété des entreprises donne le pouvoir de contracter avec d'autres entreprises, de hiérarchiser les décisions et d'utiliser plusieurs instruments d'incitation complémentaires. Ce cours débouche naturellement sur l'analyse du changement dans les organisations. PLAN DU COURS 1- Marchés 1.1. Le rôle des prix (Walras, Hayek et Coase)
2 - Entreprises 2.1. Qu'est-ce qu'une entreprise ?
2.2. Structure interne des entreprises
2.3.Les restructurations d'entreprise
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Cours du Professeur Hélyette Geman : Arbitrage et Valorisation d'Options
Rappels
fondamentaux sur le Capital
Asset Pricing Model
L'Arbitrage
Pricing Theory de Ross Valorisation
d'options en temps discret Le
modèle de Black-Scholes Extension
de Black-Scholes Options
exotiques Options
sur sous-jacent exotique Bibliographie: Hull,
J. (1999) : Options, Futures and Other Derivatives (4th ed.), Chapman
& Hall, London Cours de Andrea Roncoroni: Modèles de taux d'intérêt et évaluation de produits dérivés Rappels
de théorie de l'arbitrage dans le temps continu Marchés
à termes Modèles
Markoviens de taux court Evaluation
de produits dérivés par changement du numéraire La
méthode de Heath-Jarrow-Merton Bibliographie El
Karoui, N., Geman, H. (1999): Modèles de la deformation de courbe de taux d'intérêt, notes
Le marché des Futures et des SwapsThierry ANE
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Plan
Bibliographie
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Le cours de gestion quantitative traite de la
gestion dactifs en abordant un point de vue transversal. Les sessions sont
organisées autour de sept principaux thèmes. 1. Partie liminaire : gestion d'actifs
2. Evaluation d'actions
3. Gestion indicielle
4. Approches (pluri)-factorielles de l'évaluation (des actions)
5. Produits structurés
6. Exécution des ordres
7. Audit des gérants
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Rose-Anne Dana
1 - Décisions dans l'incertain La notion de risque.
Dominance stochastique, quantile et value at risk, dispersion. 2 - Le modèle
Moyenne-variance 3 - Choix de
consommation-portefeuille. Modèle à deux dates 4 - Équilibre des
marchés financiers 5 - Choix de consommation-portefeuille. Modèle intertemporel
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Utilité de la richesse terminale, Optimalité et A.O.A. Si le temps le permet, on abordera le modèle APT et on introduira le modèle de Merton. Des notes de cours seront distribuées pour presque toutes parties. On pourra par ailleurs consulter les ouvrages suivants :
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L'économétrie peut se définir comme
l'utilisation d'outils mathématiques et de méthodes statistiques appliquées à l'étude
des phénomènes économiques. Le but de ce cours est de présenter les concepts fondamentaux de l'économétrie de manière à ce que les étudiants soient capables :
L'analyse des séries temporelles, c'est-à-dire l'analyse
probabiliste et statistique de l'évolution de phénomènes au cours du temps joue un
rôle de plus en plus important dans les études économiques. Les thèmes suivants seront abordés : représentation ARMA, paramétrisation de la variance conditionnelle à l'aide de structures ARCH. |
1. Excel et Visual Basic pour Applications (VBA)
2. Access
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Objectifs :- Faire le point sur les méthodes
d'évaluation d'entreprise appliquées aux prises de contrôle en
étudiant plus particulièrement la prise en compte par la méthode des
DCF des effets de synergie, de valorisation du contrôle, de l'impact des
modes de paiement et de comptabilisation des prises de contrôle (fusions,
OPA et OPE). Méthode pédagogique : Associer le cours magistral (50%) et les
exposés d'étudiants portant sur les articles fondamentaux relatifs au
marché du contrôle.
Contrôle des connaissances : Chaque étudiant présentera 2 articles
dans l'année. |
Plan
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1. Typologie des organisations de marché
2. Modèles de formation des prix
3. Coûts de transaction et liquidité
4. Jeu de simulation
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Exposé des motifs : Il est devenu traditionnel dans nombre de
manuels de théorie et de gestion financière d'opposer les raisonnements et les données
de type financier à "la"comptabilité", cette dernière étant le plus
souvent jugée inapte à fournir un mode de raisonnement et des données adaptés à
l'analyse économique et financière. Ainsi une des "accusations" les plus
classiques à cet égard de la finance à l'égard de la comptabilité est son incapacité
à fournir une évaluation correcte de la rentabilité financière en terme de taux
interne de rentabilité. Objectifs principaux
Plan et thèmes principaux du séminaire Présentation générale de la théorie
conditionnelle normative de la comptabilité
Conclusion sur la diversité de la nature de l'information comptable fournie à l'échelle internationale et ses limites pour les études financières et économiques;
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Les fondamentaux macroéconomiques de la
gestion de portefeuilleOlivier DAVANNE
Objectifs de l¹enseignement
Les gestionnaires de portefeuille ont besoin de posséder certaines connaissances macroéconomiques de base pour mieux fonder leurs décisions d¹investissement. La valeur dite fondamentale des différents actifs financiers ne peut être analysée sans une prise en compte des évolutions macroéconomiques prévisibles à moyen et long terme. De plus, les performances de court terme des différentes classes d¹actifs financiers dépendent crucialement des indicateurs macro-économiques, notamment en matière d¹inflation et de croissance. Ce cours présentera notamment les méthodes dominantes utilisées par les praticiens de marché (économistes de marché, gestionnaires...) pour analyser et anticiper les évolutions macro-économiques, ainsi que les inflexions de politique monétaire. Il a une vocation appliquée et vise à donner à de futurs gestionnaires une bonne connaissance des instruments pratiques de prévision macroéconomique ainsi que des indications sur la meilleure façon d¹utiliser ces instruments pour améliorer la performance de leur gestion.
Plan du cours
I/ Partie introductive : de quelles compétences macroéconomiques ont besoin les gestionnaires financiers ?
Analyse des différents modes de gestion et du rôle joué selon les cas par les variables macroéconomiques.
Les « fondamentalistes purs » ou la nécessité d¹une analyse macroéconomique portant sur le très long terme.
L¹horizon de plus en plus court des investisseurs et le rôle de l¹analyse macroéconomique de court terme. Indicateurs macro-économiques (inflation, croissance...) et évolution des taux d¹intérêt, des taux de change et des cours de bourse. Le rôle clef joué par les « surprises » relativement au consensus de marché.
II/ Comment analyser les perspectives macro-économiques à long terme ?
Les déterminants de la croissance à long terme (« l¹offre » et non « la demande »).
Analyse des prix d¹équilibre :
- Salaires réels et coût du capital (signification de « la règle d¹or »).
- Valorisations boursières (« q de Tobin ») selon l¹intensité de la concurrence.
- Déterminants des taux de change réel d¹équilibre à long terme.
III/ Comment analyser les perspectives macro-économiques à court terme ?
Les déterminants de la croissance à court terme (« la demande » et non « l¹offre »).
L¹analyse de court terme : macroéconomie « néo-keynésienne » et utilisation des indicateurs conjoncturels, notamment des données d¹enquête auprès des entreprises et des ménages.
Illustration pédagogique : discussion des perspectives économiques pour 2002.
IV/ Perspectives macro-économiques et évolution des taux d¹intérêt à court terme.
Les principes guidant l¹action des principales banques centrales (Fed, BCE, Banque du Japon). Rôle des agrégats monétaires, de la règle de Taylor, du prix des actifs financiers...
Le contenu en information de la courbe des taux d¹intérêt.
Illustration pédagogique : les politiques monétaires en l¹an 2002.
V/ Applications pratiques : discussion des perspectives 2002 pour la bourse américaine et la parité euro-dollar.
Les nouvelles théories de l'évaluation d'entreprises
Mondher BELLALAH
- La structure du capital
- Le choix des investissements
- L'évaluation de l'entreprise
- L'évaluation de la flexibilité
- Les décisions d'investissement et de financement
- Les applications de la théorie du portefeuille en finance d'entreprise
- Le nouveau cadre conceptuel de choix des investissements
- Les clauses optionnelles, les montages financiers et l'ingénierie financière
- Etude de cas
Structures financières
Pierre-Marie LARNAC
- L'équilibre général microéconomique avec anticipations rationnelles;
- Equilibre sur les marchés d'actifs financiers ;
- Théorème de Modigliani-Muller ;
- Marchés incomplets et gouvernement de l'entreprise ;
- Dispersion et asymétries de l'information ;
- Rationnement du crédit ;
- Contrats de prêt incitatifs ;
- Signaux sur les marchés financiers ;
- Marchés du contrôle, fusions, acquisitions.
Gestion quantitative de portefeuille
Jean-François BOULIER
I. Introduction
Classes d'actifs, univers de placement, indices.
Place de l'allocation d'actif, rôle des acteurs.
Présentation du cours2. Allocation stratégique
2.1 Contexte institutionnel
Gestion actif passif.
Choix des rentabilités et mesures de risque.
Optimisation
Méthodes statiques
Optimisations duales (Leibowitz, Quants).
Méthodes dynamiques
Benchmarks2.2 Contexte individuel
Modèle de gestion de Merton
Offre de conseil des distributeurs
Produits : fonds profilés, garantis, fonds à génération3. Allocation tactique
Panorama des idées pour battre un benchmark
Modèle de prime (Mellon Cap.)
Modèle économétrique (Solnik)
Modèle actiprime (Sinopia - Lombard Odier)
Du laboratoire à l'investissement4. Mesure de performance
Définitions
Modèles classiques
Pratiques courantesI. Introduction
Classes d'actifs, univers de placement, indices.
Place de l'allocation d'actif, rôle des acteurs.
Présentation du cours2. Allocation stratégique
2.1 Contexte institutionnel
Gestion actif passif.
Choix des rentabilités et mesures de risque.
Optimisation
Méthodes statiques
Optimisations duales (Leibowitz, Quants).
Méthodes dynamiques
Benchmarks2.2 Contexte individuel
Modèle de gestion de Merton
Offre de conseil des distributeurs
Produits : fonds profilés, garantis, fonds à génération3. Allocation tactique
Panorama des idées pour battre un benchmark
Modèle de prime (Mellon Cap.)
Modèle économétrique (Solnik)
Modèle actiprime (Sinopia - Lombard Odier)
Du laboratoire à l'investissement4. Mesure de performance
Définitions
Modèles classiques
Pratiques courantes
Marchés financiers imparfaits
Elyès JOUINI
Ce cours s'attachera à étudier les divers développements récents concernant la prise en compte des frictions observées sur les marchés financiers : coûts de transaction, contraintes de vente à découvert, incomplétude, coûts de vente à découvert, écart entre les taux prêteurs et emprunteursŠCes développements portent tant sur le problème de l'évaluation d'actifs financiers dans un tel contexte que sur celui des stratégies de couverture de portefeuille dans un tel contexte. Le plan sera le suivant :
I - Rappels sur les méthodes d'évaluation et de couverture
II - L'absence d'arbitrage en présence de frictions
III - Fonctionnelles de prix, sous linéarité, prix de surréplication
IV - Viabilité et équilibre
V - Autres critères d'optimalité et applications
Econométrie de la finance
Valérie MIGNON
CHAPITRE 1 (chapitre introductif) : Méthodologie générale pour l'analyse des séries temporelles
Définitions : série temporelle et processus aléatoire
Stationnarité et transformation des séries temporelles
Caractéristiques d'une série temporelle
Application empirique : étude des propriétés statistiques des séries financières
CHAPITRE 2 : Rappels sur les processus ARMA et processus VAR
Définitions et généralités
Identification et estimation des processus ARMA
Validation des processus ARMA
Prévision des processus ARMA
Application empirique sur séries financières.
Processus VAR
CHAPITRE 3 : Tests de racine unitaire et modélisation ARIMA
Non stationnarité des séries
Tests de racine unitaire (ADF, PP, KPSS, etc.)
Processus ARIMA : rappels
Application empirique
CHAPITRE 4 : Cointégration et modèles à correction d'erreur
La cointégration
Représentation des séries cointégrées : les modèles à correction d'erreur
Estimation des relations de cointégrati
Tests de cointégration
Application empirique
CHAPITRE 5 : Modélisation de la volatilité des séries financières et processus ARCH
Propriétés statistiques spécifiques aux séries financières
Processus ARCH et GARCH
Processus EGARCH et TGARCH
Processus ARCH-M
Processus IGARCH
Estimation (maximum de vraisemblance, moindres carrés en deux étapes)
Application empirique (modélisation de la volatilité des séries de rentabilités boursières)
Le mémoire fait partie intégrante du DEA; il en constitue l'aboutissement et représente un travail approfondi sur un sujet d'actualité et/ou un apprentissage à la recherche. Pour ceux des étudiants qui souhaitent poursuivre le DEA par la rédaction d'une thèse et l'obtention d'un doctorat, la rédaction du mémoire de DEA représente la première pierre de ce travail. Les étudiants doivent réaliser un mémoire de recherche qui donne lieu à soutenance publique.
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Le DEA 104 "Finance" fait partie du Centre de Recherches sur la Gestion (CEREG), qui est
UMR CNRS n° 7088.
Le CEREG, outre une équipe de chercheurs, enseignants et doctorants, met à la disposition
des étudiants du DEA un centre de documentation spécialisé et des moyens de calculs
propres. Le CEREG publie des CAHIERS DE RECHERCHE et anime un SEMINAIRE DE RECHERCHE hebdomadaire. |
Promotion | 1992 1993 |
1993 1994 |
1994 1995 |
1995 1996 |
1996 1997 |
1997 1998 |
1998 1999 |
1999 2000 |
2000 2001 |
Nombre dinscrits | 27 | 30 | 30 | 23 | 21 | 28 | 21 | 36 | 23 |
Nombre de diplômés | 18 | 25 | 25 | 19 | 27 | ||||
dont mention AB | 11 | 8 | 11 | 7 | 11 | ||||
dont mention B | 1 | 2 | 1 | 1 | |||||
Diplômes des inscrits | |||||||||
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15 | 20 | 20 | 12 | 14 | 21 | 15 | 19 | 9 |
dont Paris Dauphine | 7 | 12 | 15 | 10 | 11 | 13 |
8 | 8 | 6 |
dont Paris | 13 | 14 | 16 | 11 | 13 | 16 | 6 | 5 | |
dont province | 2 | 6 | 4 | 1 | 1 | 5 | 1 | 5 | 3 |
Ecoles françaises | 9 | 9 | 7 | 9 | 6 | 5 | 6 | 14 | 8 |
de commerce | 6 | 6 | 4 | 6 | 4 | 2 | 1 | 4 | 4 |
ingénieur | 1 | 3 | 3 | 2 | 2 | 4 | 6 | 3 | |
divers (Ensae, Iep) | 2 | 3 | 1 | 1 | 4 | 1 | |||
Autres | 3 | 1 | 3 | 2 | 1 | 2 | 3 | 6 | |
Formation initiale | |||||||||
gestion | 11 | 13 | 15 | 14 | 8 | 14 | 7 | 15 | 14 |
économie | 6 | 8 | 7 | 1 | 6 | 8 | 3 | 6 | 3 |
économétrie | 2 | 4 | 2 | 1 | 3 | 2 | 2 | 2 | |
mathématiques | 7 | 4 | 4 | 4 | 4 | 1 | 5 | 7 | 3 |
informatique | 1 | 1 | 2 | 1 | 2 | 1 | |||
autre | 4 | 2 | 1 | 4 | 2 | ||||
Nationalité | |||||||||
Française | 25 | 28 | 24 | 21 | 17 | 24 | 18 | 30 | 18 |
CEE | 1 | 2 | 1 | ||||||
autre | 1 | 2 | 4 | 2 | 3 | 4 | 3 | 6 | 5 |
Sexe | |||||||||
homme | 16 | 19 | 20 | 13 | 14 | 21 | 19 | 24 | 15 |
femme | 11 | 11 | 10 | 10 | 7 | 7 | 2 | 12 | 8 |
Age (à linscription) | |||||||||
< ou = 22 | 9 | 15 | 13 | 10 | 7 | 10 | 8 | 12 | 4 |
< ou = 24 | 22 | 13 | 13 | 12 | 12 | 16 | 6 | 15 | 15 |
>24 | 4 | 2 | 4 | 2 | 2 | 7 | 9 | 4 |
Un tiers des diplômés du DEA 104 suivent une carrière académique en enchaînant un doctorat après le DEA. Les autres, la majorité donc, sont intégrés dans des professions diverses, la plupart mettant à profit leur formation à la recherche. Un second tiers se retrouve dans les institutions financières (banques, cabinets d'audit), et le dernier tiers dans l'industrie, l'informatique ou la communication. Selon " L'annuaire 1997, DEA 104, Finance ", à la fin de l'année 1996, la situation des étudiants titulaires du DEA depuis la promotion 1986 est la suivante :
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Recherche et développement | 8 |
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Bureau P 601
Tél : 01 44-05-42 57
Fax : 01 44-05-40-23
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